
Beaucoup ont entendu dire que les faux-traditionalistes, cherchant désespérément à donner vie à la secte non-catholique Vatican II (c'est-à-dire, la Prostituée de Babylone), font grand cas du fait que quelques « cardinaux » de la secte Vatican II, y compris l'apostat Raymond Burke, ont récemment mise en cause Amoris Laetitia de l'antipape François, de manière formelle. Il est en fait dégoûtant de voir des faux-traditionalistes, de si mauvaise volonté, mettant toujours leur espoir dans la secte Vatican II et dans des gens tels que Burke. Apparemment, ça n'a pas d'importance pour eux que Burke est un hérétique notoire qui accepte la Nouvelle Messe et toutes les hérésies de Vatican II, ne condamne pas les partisans du faux-œcuménisme, croit au salut hors de l'Église, et bien plus encore. Les « cardinaux » mentionnés ci-dessus ont aussi indiqués que si l'antipape François ne répond pas de manière appropriée à leur demande de clarification, ils publieront une « correction formelle. » Eh bien ça alors, ils sont vraiment des bastions de l'orthodoxie, n’est-ce pas ? En réalité, non. Des partisans pathétiques et sans foi de la secte Vatican II sont tout excités de cette petite action. Dans leur mauvaise volonté, les faux-traditionalistes s'accrochent à de fausses voix et de fausses solutions tout en évitant les vraies. Ils cherchent désespérément la moindre raison pour continuer à croire en la Prostituée de Babylone. Eh bien, le 19 décembre, le The Catholic World Report a publié un entretien avec Raymond Burke. On a demandé à Burke s'il accuse François d'hérésie. Il l'a nié catégoriquement :
CWR : Certaines critiques affirment que vous accusez implicitement le pape d'hérésie.
Cardinal Burke : Non, ce n'est pas du tout ce que nous avons sous-entendu. Nous lui avons simplement demandé, comme étant le pasteur suprême de l'Église, de clarifier ces cinq points qui sont confus ; ces cinq points très sérieux et fondamentaux. Nous ne l'accusons pas d'hérésie, mais lui demandons juste de répondre à ces questions pour nous, en tant que pasteur suprême de l'Église. (Entretien)
Ceci prouve, à nouveau, que Burke est un hérétique notoire ; car François est bien sûr un hérétique notoire et un apostat. Cet homme affirme, en effet, que Luther « ne s'était pas trompé » au sujet de la Justification – parmi d'innombrables autres professions d'hérésie !
Le document Amoris Laetitia contient lui-même de l'hérésie notoire, comme notre matériel le documente. Il a ensuite été à nouveau demandé à Burke s'il accuse François d'hérésie. Il a répondu en déclarant n’avoir jamais dit que François est même proche de l'hérésie !
CWR : Juste pour clarifier de nouveau, dites-vous que le pape François est dans l'hérésie ou en est proche ?
Cardinal Burke : Non, je ne dis pas que le pape François est dans l'hérésie. Je ne l'ai jamais dit. Je n'ai pas non plus déclaré qu'il est proche d'être dans l'hérésie.

Ces réponses de Burke confirment ce que nous savions déjà : il est malfaisant, sans foi et pathétique. C'est pour cela qu'il est « cardinal » dans la secte Vatican II sous l'antipape François. Néanmoins, malheureusement, les qualificatifs malfaisant, sans foi et pathétique s'appliquent à tous ceux qui mettent obstinément leur espoir dans les apostats pro-Vatican II sous l'antipape François. S'ils ont vu les preuves contre l'antipape François (comme ce que nous avons publié sur lui), et qu'ils l'acceptent tout de même comme le pape et mettent leur espoir dans des hérétiques tels que Burke, ce sont des gens que Dieu a en abomination. Ils n'ont pas de foi et ils estiment uniquement les apparences. Ils pensent que l'Église catholique est un bâtiment et que quiconque se trouve être à l'intérieur et vêtu des soutanes appropriées (tel que Burke), peu importe ce que cette personne professe, est « avec l'Église. » La vérité, cependant, est que l'Église catholique est composée de gens qui croient et professent la vraie foi catholique, non pas d'hérétiques qui occupent les bâtiments qui appartenaient à l'Église. Les faux-traditionalistes qui mettent leur espoir dans des non-catholiques tels que Burke n'ont aucune idée de qui et ce que constitue l'Église catholique.
Burke accepte toutes les hérésies de Vatican II ; il accepte l'antipape Jean-Paul II comme « saint ; » il rejette le dogme Hors de l'Église pas de salut ; et bien plus encore. Il n’est, et de loin, pas un catholique. C’est un apostat. Aucun des « évêques » et « cardinaux » qui adhère à la secte Vatican II et à la Nouvelle Messe n’est catholique. S'ils étaient orthodoxes même au sujet de qui peut licitement recevoir la Communion, ils condamneraient Vatican II, le Nouveau Code de droit canonique et le Nouveau Catéchisme de ce qu'ils enseignent que les protestants et les schismatiques orientaux peuvent recevoir la sainte Communion ! En réalité, les faux-traditionalistes qui sont indignés à propos d'Amoris Laetitia, mais ignorent pourtant des choses pires dans le Nouveau Catéchisme de l'antipape Jean-Paul II, estiment les apparences plutôt que le fond. Cela offense leur sens de la « piété » extérieure de penser que des adultères publics peuvent approcher la « Communion » juste à côté d'eux ; mais ils ne se soucient pas du fond de la vérité qui est impliqué. S'ils s'en souciaient, ils seraient alors tout autant indignés par l'enseignement officiel de Vatican II, à savoir que les hérétiques peuvent recevoir la Communion. Comme mentionné plus haut, Dieu a en abomination de telles personnes.
Malgré le fait que c’est un apostat pathétique donnant un faux espoir aux membres de la Contre-Église de la fin des temps, Burke a dit quelque chose de vrai dans son entretien. On lui a demandé ce qui arriverait si un pape « professait formellement l'hérésie. » Il a répondu en déclarant correctement que cette personne cesserait automatiquement d'être le pape. Ceci contredit les faux-traditionalistes qui enseignent faussement (et de manière hérétique) qu'un pape aurait besoin d'être jugé et déclaré coupable d'hérésie avant de cesser d'être le pape. (Les antipapes Vatican II n'ont, bien sûr, pas été validement élus. Par conséquent, ils n'ont jamais possédé la fonction pontificale.)
CWR : Certaines personnes disent que le pape pourrait se séparer lui-même de la communion avec l'Église. Le pape peut-il être légitimement déclaré en schisme ou hérésie ?
Cardinal Burke : Si un pape professait formellement l'hérésie, il cesserait, par cet acte, d'être le pape. C'est automatique. Et donc, cela pourrait se produire.
CWR : Cela pourrait se produire.
Cardinal Burke : Oui.
CWR : C'est est une pensée effrayante.
Cardinal Burke : C'est une pensée effrayante, et j'espère que nous ne serons pas bientôt témoin de cela.
Bien entendu, l'infidèle Burke ne considère pas que l'accord de l'antipape François avec Luther à propos de la Justification, sans mentionner ses innombrables autres hérésies notoires, constitue une « profession formelle d'hérésie. » Ceci car, tout comme l'antipape François, Burke est un apostat.