François encourage des prêtres à quitter le sacerdoce s’ils tombent amoureux
L’enseignement hérétique de François sur le soi-disant mariage gay et l’homosexualité
L’enseignement hérétique de François sur les hérétiques et schismatiques
Sommaire :
Le 13 mars 2013, l’argentin Jorge Bergoglio a été élu antipape François de la secte Vatican II.
Ce bref aperçu prouvera ─ de par les propos et les actions de François, qu'il est un hérétique. Nous citerons le journal officiel du Vatican ─ L’Osservatore Romano ─ et deux livres de François, qui documentent ses croyances sur divers thèmes : Je crois en l’homme ─ Conversations avec Jorge Bergoglio [1], et Sur la terre comme au Ciel. [2]
Les hérésies de François sur les juifs
Les juifs nient que Jésus-Christ est Dieu. Pourtant Jésus-Christ nous dit dans l'Évangile :
Jean 8:24 - « ... car si vous ne croyez pas que Je Suis, vous mourrez dans vos péchés. »
L’Église catholique enseigne infailliblement que vous devez croire en Jésus-Christ et avoir la foi catholique pour le salut. Elle enseigne que c’est péché mortel d’observer ou de pratiquer le judaïsme. Mais François approuve cette fausse religion du judaïsme et prie dans des synagogues juives.
François, Conversations avec Jorge Bergoglio, p. 178 : « Récemment, j’ai participé à une célébration dans une synagogue. J’ai beaucoup prié, et pendant ma prière, j’ai entendu cette phrase des textes sapientiaux, que j’avais oubliée : “Seigneur, sachez garder le silence face à la moquerie.” Cela m’a apporté une grande paix et une immense joie. »
François, Sur la terre comme au Ciel, p. 192 : « L’Église reconnaît officiellement que le peuple d’Israël continue d’être le dépositaire des promesses [le peuple élu]. À aucun moment nous ne disons : “Ils ont perdu la partie, à nous de jouer.” C’est une reconnaissance du peuple d’Israël. »
Cela veut clairement dire que François soutient que ceux qui rejettent Jésus-Christ sont le peuple élu aux yeux de Dieu. C’est un blasphème contre Dieu.
François, Sur la terre comme au Ciel, p. 51 : « Il y a aussi la médiation ministérielle du rabbin ou du prêtre qui prie ou réclame pour la santé d’autrui, et ça marche. Pour moi, en matière de guérison, ce qui crédibilise un individu qui se trouve dans la loi de Dieu, c’est la simplicité, l’humilité, l’absence de spectacle. »
Donc, François croit que les rabbins juifs ont un ministère d’intercession véritable et spirituel selon la Loi de Dieu.
François, Sur la terre comme au Ciel, p. 222, parlant au rabbin juif Skorka, François lui a dit : « Je ne suis pas près d’oublier que vous m’avez invité à deux reprises à prier et à prendre la parole dans votre propre synagogue. Et moi-même je vous ai convié à parler des valeurs à nos séminaristes. »
Dans la cathédrale de Buenos Aires, en Argentine, le 15 avril 1998, François tint une cérémonie interreligieuse pour honorer des juifs décédés. Durant cette rencontre, François déclara aux juifs :
« Nous sommes tous des frères, parce que nous avons le sceau de Dieu dans nos cœurs. » [3]
Le sceau de Dieu est le terme utilisé pour le sacrement du « Baptême, » que les juifs rejettent.
En septembre 2004, François participa à une cérémonie juive à l’intérieur d’une synagogue [4]. Le 9 novembre 2005, François assista à une autre cérémonie à l’intérieur d’une basilique pour commémorer des juifs décédés. François y alluma, entre autres choses, des bougies en leur honneur. [5]

En 2007, François célébra le Rosh Hashana dans une synagogue en Argentine. Durant sa visite, François déclara à la Congrégation juive qu’il s’était rendu dans la synagogue pour examiner son cœur, « tel un pèlerin, ensemble avec vous, mes frères aînés. » [6]
Le 7 juillet 2008, François approuva les livres du rabbin Sergio Bergman, lui donna le nom de « croyant, » et déclara que « son travail est celui d’un rabbin, qui nous aide en tant que maître. » [7]
Le 7 juin 2010, François visita le centre juif d’Argentine ; il appela les juifs « nos frères aînés » et « le peuple élu de Dieu ». Il pria également en face d’une stèle de juifs décédés afin de leur rendre hommage. [8]
Le 11 octobre 2012, dans une « université catholique, » François donna un diplôme honorifique au rabbin Abraham Skorka ─ connu pour être un fervent partisan de l’homosexualité. Après avoir reçu son diplôme, le rabbin déclara : « Nous attendons le Messie. Mais pour qu’il vienne, nous devons préparer le terrain. » [9]
Donc le rabbin rejeta explicitement le Messie Jésus-Christ ─ et cela juste en face de François !

Le 8 novembre 2012, François prit activement part à une autre cérémonie juive dans la cathédrale de Buenos Aires, en Argentine [10]. Il en était l’orateur principal. Cette cérémonie juive était encore une fois dédiée à rendre hommage à des juifs décédés. La bougie finale commémorant les juifs décédés fut allumée conjointement par un rabbin et François [11]. Sous la direction de François, des cérémonies mémorielles pour honorer des juifs décédés étaient célébrées dans de soi-disant églises catholiques en Argentine chaque année depuis 1998.
Prendre part à une cérémonie religieuse juive pour des juifs décédés est une apostasie complète de la foi catholique.
Le 14 décembre 2012, tout juste quelques mois avant son élection en tant qu’antipape, François célébra Hanouka avec des juifs en Argentine ; il était notamment question pour lui d'allumer une Menorah. [12]
Le 13 mars 2013, quelques heures à peine après l’élection de François comme antipape, il envoya une lettre de vœux au feu rabbin de Rome, qui rejetait le Christ. [13]
Le 25 mars 2013, François envoya pour Pâques un télégramme à ce même chef rabbin de Rome [14]. Dans ce télégramme, François dit estimer les juifs et leur demande de prier pour lui. Il demande aussi à Dieu « de les délivrer de tout mal », et ce, même si le rabbin rejetait Jésus ─ le Seul pouvant nous délivrer du mal.
François, Lettre ; 20 avril 2015, parlant de la mort récente du chef rabbin de Rome: « J’élève des prières au Très-Haut, riche d’amour et de fidélité, afin qu’il l’accueille dans son Royaume de paix. » [15]
François croit que Jésus (Dieu) accueillera un homme qui disait qu’Il n’était pas Dieu.
Dans son discours aux membres de la Communauté juive internationale, du 24 juin 2013, François donna aux juifs le nom de « croyants, » et demanda à ce que les juifs prient pour lui. [16]
Le rabbin Skorka était l’invité de François au Vatican pendant quelques jours à la fin du mois de septembre 2013. Lors d’une entrevue avec le journal La Stampa, Skorka parla de sa visite avec François [17]. Skorka révéla que François s’était assuré qu’il eût de la nourriture Kasher et avait prié avec lui.
Rabbin Skorka : « Je mange tous les jours avec lui, au petit-déjeuner, au déjeuner et au dîner. Il se soucie de moi et contrôle tout ce qui concerne ma nourriture, pour s’assurer que tout est Kasher et selon ma tradition juive. Ces jours-ci sont festifs, et je dois dire certaines prières aux repas et, je développe la prière finale et la traduit. Il nous accompagne moi et les autres à la table ─ ses secrétaires et un évêque, et ils disent tous “Amen” à la fin... Nous rêvons de voyager ensemble en Israël, bientôt, et le Pape y travaille... Je lui ai parlé [à François] au sujet de l’évangélisation et il a déclaré avec force que l’Église catholique ne peut pas s’engager dans le prosélytisme. »
Le prosélytisme désigne l'attitude de celui qui cherche à convertir quelqu'un. François enseigne avec force que les gens ne doivent pas essayer de convertir les non-catholiques à la foi catholique.
François, Message vidéo pour la fête de St. Gaétan ; 7 août 2013 : « Tu vas convaincre un autre de devenir catholique ? Non, non, non ! » [18]
François, Discours, Au mouvement Cursillos ; 30 avril 2015 : « Je veux dire une chose à propos de votre mouvement, vous n’avez pas fait de prosélytisme ! Et cela est une vertu. »[19]
François déclare que de ne pas essayer de convertir les autres (à la foi catholique) est une vertu. Ceci est scandaleux. Comme nous pouvons le voir, François est très explicite quant à l'idée de ne pas essayer de convertir quelqu’un à la foi catholique.
Tandis que François croit que les catholiques ne devraient pas essayer de convertir les autres au catholicisme, il dit bien que les gens ont besoin d’une soi-disant conversion écologique, une « conversion » avec la Création. C’est ce que dit François aux numéros 217 et 218 de son « encyclique » sur l’environnement, du 24 mai 2015. [20]
L’encyclique de François fut un endossement de l'environnementalisme radical. Il est intéressant de noter que l’un des principaux individus choisis par l’antipape François pour présenter sa nouvelle « encyclique » sur l’environnement, est un athée du nom de Hans Schellnhuber. Ce dernier déclara que le monde est surpeuplé par au moins six milliards de gens. Il fait la promotion d’un gouvernement mondial et d’une Constitution de la Terre qui détiendrait le pouvoir sur tous les gouvernement et toutes les nations. François a personnellement nommé Schellnhuber à l’Académie pontificale des sciences. [21]
La soi-disant encyclique de François fait la promotion de l’adoration de la Terre. François l’a d’ailleurs fait de nombreuses fois au cours de son anti-papauté. En voici un exemple :
François, Discours, Discours à l'assemblée plénière de la Conférence international sur la nutrition de l’ONU ; 20 nov. 2014 : « La terre ne pardonne jamais ! Protéger la sœur terre, la mère terre, afin qu’elle ne réponde pas par la destruction. »[22]
Il semble que François affirme que la Terre nous jugera en plus de Dieu. En effet, il semble indiquer que nous aurons à répondre à la « Création. » C’est de l’adoration pour la Terre. C’est un hérétique.
François a admis ouvertement qu’il peut enseigner l’hérésie.
François, Message-vidéo ; 23 mai 2015: « Et il me vient à l'esprit de dire quelque chose qui peut être une folie, ou peut-être une hérésie, je ne sais pas. » [23]
Les hérésies de François au sujet de l’Islam

Le 2 août 2005, François pria devant le corps décédé du directeur musulman du Centre islamique, en Argentine. Le corps était orienté vers l’Est, face à la Mecque. Un imam islamique récitait des versets du Coran et demandait des bénédictions à Mahomet. Voilà ce que François déclara : « Par ma prière, je demande au Créateur, le Très Miséricordieux, de le récompenser pour tout le bien qu’il a fait. » [24]
Saint Thomas d’Aquin enseignait : « Et si quelqu'un... adorait le sépulcre de Mahomet, il serait réputé apostat. » [25]
Les actions de François vénérant le cadavre d’un chef musulman reviennent au fait d’adorer la tombe de Mahomet.
Dans son homélie du 8 juillet 2013, François déclara à des musulmans: « Je désire me tourner en pensée vers les chers immigrés musulmans qui commencent, ce soir, le jeûne du Ramadan, avec le vœu d’abondants fruits spirituels.» [26]
Dans son message du 10 juillet 2013 aux musulmans, pour la fin du Ramadan, François dit :
« ... j’ai décidé de signer moi-même ce Message traditionnel et de vous l’envoyer, chers amis, comme expression d’estime et d’amitié envers tous les musulmans, spécialement envers leurs chefs religieux... entre chrétiens et musulmans, ce que nous sommes appelés à respecter c’est la religion de l’autre, ses enseignements, ses symboles et ses valeurs. C’est pour cela que l’on réservera un respect particulier aux chefs religieux et aux lieux de culte... nous devons encourager nos jeunes à penser et à parler de manière respectueuse des autres religions et de ceux qui les pratiquent en évitant de ridiculiser ou de dénigrer leurs convictions et leurs rites... Bonne fête à vous tous ! » [27]
Respecter une fausse religion, ses enseignements, ou ses adhérents, comme le fait François, est condamné dans l’enseignement catholique. C’est une apostasie de la foi catholique.
Le samedi 29 novembre 2014, l’antipape François a commis un autre acte public d’apostasie en priant avec le grand mufti islamique à l’intérieur de la Mosquée bleue d’Istanbul, en Turquie. Les musulmans considèrent la Mosquée bleue comme l’une des mosquées les plus importantes d’Istanbul. François et le mufti suivirent la coutume islamique en entrant déchaussés dans la mosquée. Le grand mufti fit la visite de la Mosquée à François, et lut à François des versets du Coran, en expliquant leur signification. L’on pourrait correctement dire que François s’est volontairement soumis à une instruction dans la foi islamique. Après que le mufti islamique et François aient prié ensemble durant deux minutes, en silence, dans la mosquée. L’antipape François inclina sa tête, ferma les yeux et joignit ses mains en « prière » ─ il se tenait épaule contre épaule avec le chef islamique. Les prières finies, le mufti dit : « Que Dieu l’accepte ». Le porte-parole du Vatican a dit que les prières étaient une « adoration silencieuse. »
François s’adressa au grand mufti: « Je veux aussi vous demander de prier pour moi. » Le Vatican a dit ne pas vouloir offenser les musulmans, ils ont donc déplacé la visite de François à la mosquée afin qu’elle n’entre pas en conflit avec « la prière du midi » musulmane. Les actions de François sont un autre exemple clair et public de son rejet de la religion catholique.
Quiconque voit les actions de François et le considère toujours comme ayant la foi catholique, est un hérétique. L’Église catholique a enseigné à plusieurs reprises qu’il n’y a pas de salut en dehors de l’Église catholique et que les fausses religions comme l’islam sont des sectes abominables.
Pape Eugène IV ; 1434: « ... puisqu’il faut espérer que... viendra la conversion à la foi catholique de la plupart de ceux qui appartiennent à la secte impie de Mahomet. » [28]
En septembre 2014, l’antipape François enseigna à plusieurs reprises qu’il y a des martyrs islamiques– veuillez lire l’article en anglais dans lequel l’Antipape François enseigne à plusieurs reprises qu’il y a des « martyrs » musulmans. Cette incroyable hérésie qui rejette ouvertement le dogme catholique défini que seuls les catholiques sont des martyrs, est une autre preuve que François ne professe pas la foi véritable au for externe, mais une fausse foi. Une profession de foi ne se compose pas seulement de paroles (telles que les paroles de François que nous venons de citer) mais aussi par des actes.
Puisque François ne professe pas la vraie foi au sens externe, mais une fausse foi ─ il prie avec les musulmans, enseigne qu’ils peuvent être sauvés, enseigne qu’ils ont des martyrs, etc. ─ selon l’enseignement catholique sur l’unité de l’Église et la profession de foi, il est interdit sous peine d’hérésie et péché mortel de le considérer comme faisant partie de l’Église catholique. Ceci est expliqué dans la vidéo, Pourquoi vous ne devrez pas considérer François le pape.
L’apostasie de François dans la mosquée fut essentiellement une répétition de ce que fit l’antipape Benoît XVI le 30 novembre 2006. Ce jour-là, Benoît XVI (tout comme François) pria avec un grand mufti. Benoît XVI faisait face à l’est en direction de la Mecque. [29]
Le 28 novembre 2006, deux jours avant sa visite à la Mosquée bleue, Benoît XVI avait dit :
« ... je salue tous les musulmans en Turquie avec une estime particulière... Cette noble terre a également connu une remarquable floraison de la civilisation musulmane dans les domaines les plus divers. » [30]
Le 19 janvier 2007, Benoît XVI raconta sa visite à la mosquée :
« ... j’ai manifesté à maintes reprises le respect de l’Église catholique pour l’Islam, et l’estime du Pape et des fidèles pour les croyants musulmans, notamment lors de ma visite à la Mosquée bleue d’Istanbul. » [31]
Le 22 décembre 2006, Benoît XVI dit :
« La visite en Turquie m'a offert l'occasion d'exprimer également publiquement mon respect de la Religion musulmane... » [32]
Benoît XVI reçut également avec joie un coran et dit en septembre 2006 :
« ... mon jugement personnel sur le Coran, envers lequel j’ai le respect dû au livre sacré d’une grande religion. »[33]
Regardez notre vidéo en anglais [ou l’article sur Benoît XVI du PDF] The Heresies of Benedict XVI pour plus d’informations à propos des stupéfiantes hérésies de Benoît XVI sur des sujets variés. Cette vidéo démolit complètement le mensonge – promu par des « conservateurs » ou « catholiques traditionalistes » – que Benoît XVI a la foi catholique.
En outre, beaucoup d’entre vous savent que l’antipape Jean-Paul II, récemment « canonisé, » a fait des choses comme incliner sa tête et embrasser le coran le 14 mai 1999.
Le 21 mars 2000, Jean-Paul II avait d’ailleurs fait cette incroyable déclaration :
« Que saint Jean-Baptiste protège l'islam... »[34]
Comme le prouve nos informations à toute personne de bonne volonté, ces antipapes sont des apostats de la foi catholique. Ils ne sont pas de vrais papes, mais des antipapes hérétiques sans légitimité.
François, Homélie ; 21 sep. 2014 : « En repensant à ces décennies d’atroces souffrances et de très dures persécutions contre les catholiques, les orthodoxes et les musulmans, nous pouvons dire que l’Albanie a été une terre de martyrs : beaucoup d’évêques, de prêtres, de religieux, de fidèles laïcs, de ministres du culte d’autres religions, ont payé de leur vie leur fidélité. » [35]
François dit que les hérétiques, musulmans et membres « d’autres religions » qui sont morts en embrassant leur fausse religion étaient des « martyrs ». Ceci revient à enseigner que les musulmans sont des martyrs ! Il est un dogme que seuls les catholiques peuvent être des martyrs. François est un hérétique complet.
Les hérésies de François sur les autres fausses religions
À la page 237 du livre Sur la terre comme au Ciel, François écrit à propos de nouveaux systèmes et mouvements de croyances, disant :
« J’ai le plus grand respect pour les nouvelles propositions spirituelles, mais celles-ci doivent être authentiques et subir l’épreuve du temps, la seule qui permette de dire si le message est conjoncturel ou s’il est appelé à durer. La meilleure preuve de la pureté spirituelle, c’est qu’elle résiste au passage du temps. »

Donc, selon l’apostat François, la fausse religion de l’hindouisme est une pureté spirituelle véridique, puisque cela fait trois mille ans qu’elle circule et qu’elle a résisté au passage du temps...
Durant un entretien en vol, le 16 janvier 2015, François a parlé de sa visite dans un temple bouddhiste à Colombo :
« Dans ce temple il y a les reliques de deux disciples du Bouddha qui sont très importants pour eux. Ces reliques étaient en Angleterre et ils ont réussi à les faire parvenir jusqu’ici, et ils les ont sorties afin que nous puissions les regarder. » [36]
François dit avoir rendu visite au temple bouddhiste, et que les bouddhistes ont sorti de « très importantes reliques » afin de les « regarder. » C’est un apostat.
Le 24 juin 2015, lors d’une réunion avec des bouddhistes [37], François a demandé à Dieu de bénir les bouddhistes et il a reçu une bénédiction formelle bouddhiste.
François, Discours ; 18 mai 2013 : « ... promouvoir la liberté religieuse pour tous, pour tous ! Chaque homme et chaque femme doivent être libres dans leur confession religieuse, quelle qu’elle soit. » [38]
L’Église catholique condamne l’idée que la liberté religieuse soit un droit civil universel.
Après les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, François participa à une rencontre de prières aux cotés de chefs de fausses religions, au pied d’un obélisque en Argentine [39]. L’obélisque est un symbole phallique maçonnique.
Dans son encyclique Mortalium animos du 6 janvier 1928, le pape Pie XI condamne comme apostasie toute participation de catholiques à des rencontres interreligieuses. Il enseigne que ceux qui favorisent cette activité ont abandonné la religion catholique. Il dit aussi :
« On comprend donc, Vénérables Frères, pourquoi ce Siège Apostolique n'a jamais autorisé ses fidèles à prendre part aux congrès des non-catholiques... » [40]
Mais comme nous l’avons déjà vu, François a pris part à de nombreuses réunions de prières interreligieuses.
Le 24 janvier 2002, François invita nombre de chefs de fausses religions différentes pour prier dans la cathédrale de Buenos Aires, en Argentine. La réunion comprenait des chefs de l’hindouisme, du bouddhisme, de l’islam, et du judaïsme [41]. François avait annoncé durant la rencontre que : « chaque groupe religieux priera en fonction de sa foi, de sa langue et de sa tradition, dans le respect d’autrui le plus complet. » Ceci est une apostasie !
Le 5 mai 2006, François pria avec des membres du Parlement mondial des religions. Et en 2011, François organisa même sa propre rencontre interreligieuse. [42]
Le 20 mars 2013, François rencontra différents chefs de différentes religions, incluant des schismatiques, des juifs, et des musulmans. François déclara :
« Hier matin, durant la Sainte Messe, j’ai reconnu spirituellement à travers vos personnes la présence des communautés que vous représentez. » Il poursuivit en disant les estimer. [43]
François, Discours, Rencontre interreligieuse et œcuménique; 13 jan. 2015 : « Chers amis, je suis reconnaissant de l’occasion qui m’est donnée de participer à cette rencontre, qui réunit ensemble – parmi d’autres – les quatre communautés religieuses les plus grandes qui font partie intégrante de la vie du Sri Lanka : Bouddhisme, Indouisme, Islam et Christianisme. Je vous remercie de votre présence et de votre accueil chaleureux. Je remercie aussi tous ceux qui ont offert des prières et des bénédictions,... »[44]
François s’adresse à une rencontre interreligieuse qui inclut des hindous, lesquels adorent des idoles et faux dieux. Il les remercie pour leurs « prières et bénédictions » Ceci revient à approuver et encourager la prière à de faux dieux et, par conséquent, l’idolâtrie.
François, Discours, Au centre diocésain Jean-Paul II ; 6 juin 2015 : « ... musulmans, juifs, orthodoxes, catholiques et autres religions. Nous sommes tous frères ! Nous adorons tous un Dieu Unique ! Jamais, jamais de séparation entre nous ! Fraternité et union. » [45]
François dit que les juifs et les musulmans - qui ne croient pas que Jésus est Dieu - adorent Dieu. Ceci est un blasphème.
Comme nous venons tout juste de le montrer, François rejette complètement l’enseignement infaillible de l’Église catholique qui enseigne que les membres de fausses religions doivent accepter la foi catholique pour le salut.
Pape Eugène IV, Concile de Florence ; 1439, ex cathedra : « Quiconque veut être sauvé doit avant tout tenir la foi catholique, car si quelqu’un ne la garde pas entière et inviolée, sans nul doute il périra pour l’éternité. » [46]
François respecte les athées
Aux pages 27-28 de Sur la terre comme au Ciel, François dit respecter les athées, et n’essaye pas de les convertir :
« Je n’envisage pas mon rapport à un athée avec des visées prosélytes ; je le respecte... je n’irai jamais lui dire que sa vie est condamnée parce que j’estime sincèrement ne pas avoir le droit d’émettre un jugement sur l’honnêteté de cette personne... tous les hommes sont à l’image de Dieu, qu’ils soient croyants ou pas. Cela suffit à leur conférer toute une gamme de vertus, de qualités. »
François, Discours ; 30 avril 2015 : « Je me rappelle d’une dame, née dans une famille athée, qui elle aussi était athée, pas agnostique, mais athée. Mais c’était une brave femme,... »[47]
François affirme qu’une femme qui ne croyait pas en Dieu explicitement était « une brave femme. »
Un athée accorda une entrevue à François pour le journal italien La Repubblicca. L’entrevue fut publiée le 1er octobre 2013 [48]. François dit directement à l’athée qu’il n’a aucune intention d’essayer de le convertir. François rejette quatre fois de suite le prosélytisme dans cette entrevue. Il y déclare :
« Le prosélytisme est un non-sens solennel, cela n’a aucun sens. »
François poursuit en affirmant que chaque personne a sa propre idée du bien et du mal. Il encourage chaque personne à suivre le bien tel que chacun le conçoit. Ceci une apostasie des plus scandaleuses.
Dans sa lettre du 11 septembre 2013 au journal La Repubblica, François enseigne que les gens qui ne croient pas en Dieu peuvent être sauvés [49]. C’est une apostasie complète de la foi catholique.
François respecte ceux qui se suicident
François, Sur la terre comme au Ciel, p. 101 : « À une époque, le suicidé n’avait pas droit aux obsèques parce qu’il avait cessé de cheminer vers sa destination, il avait renoncé de son propre chef. Mais j’ai du respect pour celui qui se suicide, c’est un individu qui n’a pas su surmonter ses contradictions. Je ne le rejette pas.»
L’enseignement de François sur l’homme
François, Conversations avec Jorge Bergoglio, p.190 : « Pour moi, l’espérance est dans la personne humaine, dans ce qu’elle a dans le cœur. Je crois en l’homme. Je ne dis pas qu’il est bon ou mauvais, mais je crois en lui... »
L’enseignement hérétique de François sur le péché
François, Conversations avec Jorge Bergoglio, p. 109 : « J’ai l’habitude de dire, comme le souligne Saint Paul, que notre état de pécheurs est notre unique gloire. »
Saint Paul ne dit pas cela. C’est scandaleux. François poursuit ensuite en affirmant quelques lignes plus loin : « C’est pour ça, qu’à mes yeux, le péché n’est pas une tâche dont il faut me débarrasser. »
François, Conversations avec Jorge Bergoglio, p.116 : « ... il s’agit d’un problème de péché. Depuis un certain nombre d’années, l’Argentine vit dans le péché parce qu’elle ne s’occupe pas de ceux qui n’ont ni pain ni travail. »
Remarquez que le seul péché dont parle François est celui de ne pas donner aux gens de la nourriture ou du travail. Il ne dit rien à propos de péchés allant contre Dieu ou contre la foi de Dieu.
François, Entrevue au journal La Repubblica ; 1er oct. 2013 : « Les plus grands maux qui affligent le monde ces jours sont le chômage des jeunes et la solitude des vieux... C’est pour moi le problème le plus urgent auquel l’Église fait face. » [50]
François sur le Communisme
François, Conversations avec Jorge Bergoglio, pp.47-48 : « Il est vrai que j’étais, comme toute la famille, un catholique pratiquant. Mais mon esprit n’était pas exclusivement tourné vers les problèmes religieux... Je lisais Nuestra Palabra, Propositos, une publication du Parti Communiste, et j’adorais les articles du dramaturge Leonidas Barletta, qui appartenait au monde de la culture. Ces lectures ont contribué à ma formation politique, mais je n’ai jamais été communiste. »
François, Déclaration lors d’une entrevue ; 5 mars 2014 : « J’ai connu beaucoup de grandes personnes qui professaient le marxisme. » [51]
François sur la peine de mort
François, Conversations avec Jorge Bergoglio, p. 94 : « Aujourd’hui, par exemple, il existe une conscience de plus en plus forte face à l’immoralité de la peine de mort. »
Cette déclaration est complètement hérétique. L’Église catholique a toujours soutenu la légitimité de la peine de mort pour les crimes extrêmement graves.
François promeut l’éducation sexuelle
François, Conversations avec Jorge Bergoglio, p. 101 : « L’Église ne s’oppose pas à l’éducation sexuelle. Personnellement, je pense qu’elle doit accompagner l’évolution des enfants, avec une adaptation à chaque étape. À la vérité, l’Église a toujours donné des cours d’éducation sexuelle, même s’il est vrai qu’elle ne l’a pas toujours fait à bon escient. »
Pape Pie XI ; 31 déc. 1931 : « Beaucoup soutiennent et promeuvent de façon insensée et dangereuse la forme d’éducation appelée de façon choquante “sexuelle.” » [52]
François encourage des prêtres à quitter le sacerdoce s’ils tombent amoureux
François, Conversations avec Jorge Bergoglio, p. 107 : « C’est vrai, un prêtre tombe parfois réellement amoureux ; ce qui le conduit à revoir sa vocation et à changer de vie. Il va trouver l’évêque, et lui dit : “J’en suis là... je ne pensais pas que j’éprouverais un jour un sentiment aussi beau... cette femme, je l’aime vraiment...’’ Puis il demande à quitter le sacerdoce. – Et vous, comment réagissez-vous ?
François : ... je ne l’abandonne pas, je le suis tout au long du chemin, dans l’élaboration spirituelle de ce qu’il vit. S’il est sûr de sa décision, je l’aide même à trouver un emploi... je lui conseille de rester chez lui, le temps que nous demandions une dispense, c’est-à-dire l’accord de Rome qui l’autorise à recevoir le sacrement du mariage. »
Donc, François aiderait un homme à briser le vœu permanent de chasteté qu’il a fait devant Dieu pour qu’il quitte la prêtrise.
L’enseignement hérétique de François sur le soi-disant mariage gay et l’homosexualité
Ceci est maintenant un fait établi et confirmé que François a favorisé des unions civiles entre homosexuels lorsqu’il était en Argentine. Il voulait simplement qu’une union civile homosexuelle ne soit pas appelée mariage [53]. Ceci est une hérésie. Cela veut dire que François approuve un comportement sexuel abominable et perverti, qui est condamné dans les Écritures et l’enseignement catholique. Sa position n’est aucunement différente d’une personne qui serait en faveur de l’avortement à condition que l’État n’accorde pas de statuts spéciaux ou privilégiés, à travers l’utilisation de fonds publics, à ceux qui désirent avorter.
Remarquez l’intéressante déclaration suivante à propos du soi-disant mariage gay et des homosexuels.
François, Sur la terre comme au Ciel, pp.125-126 : « Quand Mauricio Macri, le chef du gouvernement de la ville autonome de Buenos Aires, a choisi de ne pas faire appel de la décision d’une juge de première instance autorisant le mariage [de même sexe], j’ai senti que je devais m’exprimer, pour donner une orientation, je me suis senti obligé de donner mon avis. C’était la première fois en dix-huit ans d’exercice de la fonction d’évêque que je montrais du doigt un fonctionnaire. Si vous analysez mes déclarations d’alors, je n’ai jamais parlé des homosexuels ni fait la moindre allusion péjorative à leur endroit... Macri m’a dit que cela correspondait à ses convictions ; moi, je les respecte, mais un chef de gouvernement ne doit pas laisser ses propres convictions interférer avec la loi. Je n’ai jamais parlé des homosexuels en termes péjoratifs, mon intervention ne concernait qu’une question légale. »
François dit respecter ceux qui favorisent l’abomination du soi-disant mariage gay, et il dit ne jamais avoir manqué de respect envers les pervers et sodomites.

François mentionne également la façon dont il a autorisé que le président pro-gay d’Argentine ─ Néstor Kirchner ─ préside une cérémonie mémorielle « catholique » pour y honorer des « prêtres catholiques » et séminaristes décédés.
François, Conversations avec Jorge Bergoglio, p. 129 : « ... quand il [Kirchner] est arrivé, je lui ai demandé de présider la cérémonie... »
Quand le président apostat décéda quelques temps après, François lui offrit immédiatement une « messe » Requiem [54]. François autorisa également des politiciens pro-avortement et pro « mariage gay, » à recevoir la fausse Communion lors de sa « messe » d’installation. [55]
Le 19 août 2013, François a été interviewé par Antonio Spadero, de La Civiltà Cattolica. Dans l’entrevue, François enseigne clairement que les homosexuels actifs ne sont pas condamnés ni rejetés par Dieu [56]. L’Église, en se fondant sur les Écriture, enseigne tout le contraire.
François sur la réaction de Marie à la mort de Jésus
François, Discours, parlant de la réaction de la Sainte Vierge Marie quant à la crucifixion et mort de Jésus ; 29 mai 2015 : « ... et dans son cœur, certainement avec ce corps si meurtri dans les bras, avec tant de souffrance avant de mourir, dans son cœur, elle aurait certainement eu envie de dire à l’ange : “Menteur ! J’ai été trompée”. Elle non plus n’avait pas de réponse. » [57]
François accuse Marie d’avoir voulu appeler l’ange un menteur.
François a rejeté les apologètes catholiques
Dans son homélie du 25 janvier 2015 à des non-catholiques, il dit de mettre « de côté toute attitude polémique ou apologétique » Il poursuit en dénonçant les « discussions théoriques raffinées dans lesquelles chacun tentera de convaincre l’autre du bien-fondé de ses propres opinions ». [58]
Dans son discours du 4 mai 2015, François appelle les luthériens « des frères et des sœurs dans la foi. » [59]
Le 16 février 2015, François a déclaré qu’il y a de « ... saintes figures chrétiennes appartenant à différentes confessions... ». Il s'est mis à dire ensuite: « Qu’ils soient catholiques, orthodoxes, coptes, luthériens, peu importe, ils sont chrétiens ! » [60]
« Peu importe» ; c’est ce que dit François pour qualifier un catholique, un protestant ou un « orthodoxe ». Mais l’Église catholique a toujours enseigné que cela fait toute la différence qu’on soit catholique ou pas. C’est un dogme qu’une personne ne peut pas être sauvée sans la foi catholique.
L’enseignement hérétique de François sur les hérétiques et schismatiques
François, Sur la terre comme au Ciel, p.135 : « Je ne suis pas d’accord moi non plus avec des cours de religion à l’école dont seraient exclus de fait les non-catholiques. »
En Argentine, François orientait les « catholiques » à la recherche d’un exorciste, vers un exorciste luthérien. [61]
À la page 84 du livre Sur la terre comme au Ciel, François cite ce que lui avait dit sa grand-mère lorsqu’il était jeune : « ...“ce sont des protestantes, mais elles sont braves.” C’était la sagesse de la véritable religion. »

En 2006, François s'agenouilla pour recevoir une bénédiction de la part de protestants lors d’une rencontre œcuménique [62]. François fit la même chose immédiatement après avoir été élu antipape le 13 mars 2013. Au lieu de bénir les gens, François demanda aux gens de le bénir, alors que la foule comprenait des membres de diverses religions non-catholiques. [63]

Le 18 mars 2013, François écrivit au nouveau chef de la secte anglicane. Il donna au laïc, du nom de Justin Welby, le statut de « révérend ; » alors que l’Église catholique ─ sous le pape Léon XIII ─ réaffirmât le 13 septembre 1896 que le rite d’Ordination anglican est totalement invalide.
François affirma que Welby avait un « ministère pastoral » et lui donna l’appellation d’ « archevêque de Cantorbéry, » ce qui veut dire qu’il croit que le chef de la secte schismatique hérétique anglicane est le vrai chef juridictionnel de la seule et unique Église à Cantorbéry, en Angleterre. Il demanda à ce chef hérétique et schismatique de prier pour lui. [64]
Dans son discours du 14 juin 2013 au schismatique Welby, François disait l’accueillir « non comme des étrangers ni des hôtes ; vous êtes concitoyens des saints, vous êtes de la maison de Dieu. » [65]

Donc, François enseigne avec vigueur que le non-catholique Welby, que François appelle « Votre Grâce, » est un membre de l’Église du Christ. C’est une hérésie des plus scandaleuses ! François se dit ensuite « profondément reconnaissant » que le laïc hérétique schismatique prie pour lui. François poursuit ensuite en exprimant son « profond respect » pour les anglicans, et qu’il existe maintenant une meilleure appréciation pour la spiritualité et les « traditions liturgiques » anglicanes.
François, Discours ; 30 avril 2015 : « ... je pense aux martyrs d’Ouganda, à moitié catholiques et à moitié anglicans. »[66]
Dire qu’il y a des martyrs anglicans est hérétique, en plus d’être un déni du dogme infaillible qu’il n’y a pas de salut en dehors de l’Église catholique.
Comme Vatican II l'enseigne, François soutient que les protestants et les soi-disant orthodoxes sont dans l’Église du Christ, et qu’ils n’ont pas besoin d’être convertis à la Foi catholique pour le salut. Ceci est une hérésie !

François, Discours, vœux au soi-disant pape orthodoxe schismatique d’Alexandrie, Égypte ; 10 mai 2013 : « Votre Sainteté, en vous assurant de mes prières afin que tout le troupeau confié à vos soins pastoraux soit toujours plus fidèle à l’appel du Seigneur, j’invoque la protection commune des saints Pierre Apôtre et Marc évangéliste... » [67]
François appelle « Sainteté » ce schismatique et affirme que Dieu confie son troupeau à un schismatique. Il l’appelle aussi « pasteur, » ce qui veut dire qu’il croit que le chef schismatique est un véritable chef juridictionnel de la seule et vraie Église du Christ.
Dans son discours du 28 juin 2013 à la délégation du Patriarcat schismatique oriental « orthodoxe » de Constantinople, François les supplie de prier pour lui, disant : « Je vous demande enfin de prier pour moi et de faire prier pour moi ─ j’en ai tant besoin. » [68]
François, Télégramme ; 28 mars 2015, à l'occasion de la mort du schismatique Mar Dinkha IV: « Le monde chrétien a perdu un important chef spirituel, un pasteur sage et courageux pasteur... Puisse le Seigneur le recevoir dans son royaume et lui accorder le repos éternel, et puisse survivre la mémoire de son service long et dévoué à l’Église comme un défi et une inspiration pour nous tous. » [69]
François donne le titre de chef spirituel important et sage Pasteur au chef schismatique décédé. François dit que son long service à une église schismatique devrait être une inspiration pour tous. François déclare, par conséquent, que le service à une église schismatique est un service véritable à la vraie Église du Christ.
Parlant de la mort récente de la tête de l’Église syrienne schismatique « orthodoxe, » le 30 janvier 2015, François a déclaré :
« Je m’unis à votre prière à tous, du clergé aux fidèles de ce zélé serviteur de Dieu, en demandant pour son âme la joie éternelle. »[70]
Selon François, être le chef d’une église schismatique est être un « zélé serviteur de Dieu. »
François, Discours, Au soi-disant chef de l’Église syrienne orthodoxe ; 19 juin 2015 : « Votre Église, Sainteté, est une Église de martyrs depuis son origine et elle l’est encore aujourd’hui,... »[71]
L'antipape François déclare ouvertement qu’une « Église » non-catholique est une église de martyrs. Ceci est totalement hérétique. C’est un rejet clair et public du dogme que seuls les catholiques peuvent être martyrs.
François, Audience ; 19 juin 2013 : « ... aujourd’hui, avant de sortir de chez moi, j’ai passé quarante minutes, plus ou moins une demi-heure, avec un pasteur évangélique et nous avons prié ensemble... » [72]
À la page 220 de Sur la terre comme au Ciel, François recommande que les différentes confessions chrétiennes fassent « un bout de chemin ensemble, en faisant des choses ensemble, en priant ensemble... sans annuler les différentes traditions... » Ici, François promeut l’hérésie qui affirme qu’on ne devrait pas essayer de convertir les non-catholiques, mais au contraire cheminer avec eux, prier avec eux, sans annuler leurs traditions hérétiques et schismatiques.
François, parlant des schismatiques « orthodoxes », dans son entrevue du 19 août 2013, déclare :
« Nous devons cheminer unis dans les différences : il n’y a pas d’autre chemin pour nous unir. C’est le chemin de Jésus. » [73]
Donc, d’après François, les schismatiques devraient continuer à rejeter l’enseignement catholique, et n’ont pas besoin de se convertir.
Pape Pie XI, Mortalium animos : « ... il n'est pas permis, en effet, de procurer la réunion des chrétiens autrement qu'en poussant au retour des dissidents à la seule véritable Église du Christ, puisqu'ils ont eu jadis le malheur de s'en séparer. » [74]
Le 30 novembre 2014, François discuta sur l’uniatisme. L’uniatisme se réfère à l’acceptation de la papauté et de l’enseignement catholique par les églises de rite oriental. François, parlant aux schismatiques orientaux, dit :
« Mais l’uniatisme est un mot d’une autre époque. Aujourd’hui on ne peut pas parler ainsi. On doit trouver une autre route... “Aidez-moi à trouver une forme de Primat sur laquelle nous puissions nous mettre d’accord.” »[75]
Son assertion est une déclaration publique que c’est un enseignement d'une autre époque que d'accepter, pour les églises schismatiques, la papauté. Ceci est un rejet public de la papauté de la part de François.
François, le révolutionnaire liturgique

Voici François célébrant une soi-disant messe moderniste pour enfants ; avec des danseuses liturgiques. [76]
François, Sur la terre comme au Ciel, p.111 : « Dans le catholicisme, par exemple, beaucoup de femmes conduisent la liturgie de la Parole... »
François a bien sûr distribué la fausse communion dans la main tout au long de sa vie...

François n’a jamais offert une messe valide ; non seulement parce qu’il offre la Nouvelle Messe invalide, mais aussi parce qu’il a été « ordonné » le 13 décembre 1969 dans le nouveau rite d’Ordination invalide. Comme son prédécesseur Benoît XVI, François s’est fait « consacré » évêque dans le nouveau rite invalide de Consécration épiscopal. Un vrai pape est l’évêque de Rome. François n’est pas évêque ; raison de plus qui montre qu’il n’est pas le pape.
Les franc-maçons approuvent François
Récemment, les grands-maîtres des loges du Grand-Orient d’Italie et d’Argentine ont fait l’éloge de François [77]. Ceux-ci ont publiquement soutenu l’élection de François en tant que nouvel antipape.

Sur cette photo de François [78], on le voit faire un signe qui semble être le signe du Maitre du second voile dans la franc-maçonnerie. C’est clairement un geste utilisé par les franc-maçons à travers l’histoire. Ce ne serait pas une surprise de découvrir que François soit franc-maçon car, en effet, ses croyances ─ qui se sont manifestées par ses œuvres et ses actions ─ sont maçonniques. L’enseignement principal de la maçonnerie est que toutes les religions mènent à Dieu. Comme nous l’avons clairement prouvé dans ce bref résumé de l’enseignement de François, c’est exactement ce qu’il croit.
Pour conclure, François croit fermement et enseigne les mêmes hérésies qui ont été promues par les autres antipapes Vatican II. François est un hérétique total, doublé d’un apostat.
Le dogme catholique définit qu’un hérétique n’est pas un membre de l’Église catholique. De ce fait, ceci est infaillible : François n’est pas un pape valide, mais un antipape hérétique non-catholique.