
Discours prononcé par François le 17 décembre 2018 à la délégation de la Commission internationale contre la peine de mort
« Je vous salue tous cordialement et je désire vous exprimer mes remerciements personnels pour le travail que la Commission internationale contre la peine de mort réalise en faveur de l’abolition universelle de cette forme de punition cruelle... On a récemment vu le reflet de tout cela dans la nouvelle rédaction du n. 2267 du Catéchimse [sic] de l’Église catholique, qui exprime à présent le progrès de la doctrine des derniers Papes, tout comme le changement dans la conscience du peuple chrétien... Une peine contraire à l’Évangile... Au cours des siècles derniers, quand manquaient les instruments dont nous disposons aujourd’hui pour la protection de la société et que n’avait pas encore été atteint le niveau actuel de développement des droits humains, le recours à la peine de mort se présentait dans certaines occasions comme une conséquence logique et juste. Même au sein de l’Etat pontifical, on a eu recours à cette forme inhumaine de punition, en ignorant le primat de la miséricorde sur la justice. C’est pour cette raison que la nouvelle rédaction du Catéchisme implique que nous assumions notre responsabilité pour le passé et que nous reconnaissions que l’acceptation de ce type de peine a été la conséquence d’une mentalité de l’époque plus légaliste que chrétienne... Toutefois, le développement harmonieux de la doctrine impose la nécessité de refléter dans le Catéchisme le fait que, même si demeure la gravité du délit commis, l’Église enseigne, à la lumière de l’Évangile, que la peine de mort est toujours inadmissible... Les résolutions de l’Organisation des Nations unies sur le moratoire du recours à la peine de mort, qui ont pour objectif de suspendre l’application de la peine capitale dans les pays membres, sont un chemin qu’il est nécessaire de parcourir... Chers amis, je vous remercie à nouveau pour cette rencontre, et je vous assure que je continuerai de travailler avec vous pour l’abolition de la peine de mort. L’Église y est engagée... » [1]
François admet que l'enseignement de la secte Vatican II contre la peine de mort est un « changement dans la conscience du peuple chrétien » en considérant ce qu'ont cru les catholiques au cours de l'histoire. Il dit qu'elle est « une peine contraire à l’Évangile » et « toujours inadmissible. » François critique les États pontificaux d'avoir ce qu'il appelle « cette forme inhumaine de punition. » Les États pontificaux étaient un ensemble de territoires dans la péninsule italienne sous la souveraineté du Pape, depuis le 8e siècle jusqu'en 1870. [2] François attaque l'enseignement de l'Église catholique qui enseigne que la peine de mort est permise pour certains délits graves. François est un hérétique. Ensuite, il promeut l'idée hérétique du « développement de la doctrine. »
Pape Pie IX, Concile Vatican I, Session 3, Canon 3 sur la Foi et la Raison, 1870, ex cathedra : « Si quelqu'un dit qu'il est possible que les dogmes proposés par l'Église se voient donner parfois, par suite du progrès de la science, un sens différent de celui que l'Église a compris et comprend encore, qu'il soit anathème. » [3]
Pape Pie IX, Concile Vatican I, Session 3, Chapitre 2 sur la Révélation, 1870, ex cathedra : « En conséquence, le sens des dogmes sacrés qui doit être conservé à perpétuité est celui que notre Mère la sainte L'Église a présenté une fois pour toutes et jamais il n'est loisible de s'en écarter sous le prétexte ou au nom d'une compréhension plus poussée. » [4]
Pape Pie X, Pascendi Dominici Gregis (# 26), 8 septembre 1907, Sur la doctrine des modernistes : « Des lois de l'évolution, dogme, Église, culte, Livres Saints, foi même, tout est tributaire, sous peine de mort. Que l'on reprenne sur chacune de ces choses en particulier les enseignements des modernistes, et ce principe ne pourra surprendre. » [5]
Pape Pie X, Lamentabile, erreurs des modernistes ; 3 juillet 1907 : « Les dogmes que l'Église présente comme révélés ne sont pas des vérités tombées du ciel, mais une interprétation de faits religieux que l'esprit humain s'est donnée par un laborieux effort. » — Condamnée [6]
François dit que l'Église catholique enseigne « à la lumière de l’Évangile, que la peine de mort est toujours inadmissible. » François fait appel au peuple à travailler ensemble pour « suspendre l’application de la peine capitale » et déclare que « l'Église y est engagée. » La secte Vatican II (à savoir la Prostituée de Babylone) y est engagée - non pas l'Église catholique.
Erreurs de Martin Luther, #33 : « Que des hérétiques aient été brûlés est contraire à la volonté de l'Esprit. » – Condamnée par Pape Léon X, Exsurge Domine, 15 juillet 1520 [7]
St. Thomas d'Aquin, Somme Théologique, Pt. II-II, Q. 11, A. 3 : « Par rapport à eux, l'hérésie est un péché par lequel ils ont mérité non-seulement d'être séparés de l'Église par l'excommunication, mais encore d'être mis hors du monde par la mort. Car c'est un crime beaucoup plus grave de corrompre la foi qui est la vie de l'âme que d'altérer l'argent qui sert au soutien de la vie temporelle. Par conséquent, si ceux qui font de la fausse monnaie ou les autres malfaiteurs sont avec justice mis à mort immédiatement par les princes séculiers, à plus forte raison les hérétiques, du moment où ils sont convaincus d'hérésie, peuvent-ils être non-seulement excommuniés, mais encore mis à mort justement. » [8]
Bizarre... je ne vois aucune source d'information qui prouve que l'infirmière soit morte. Quelle est votre source d'information ? Avez-vous une preuve ?
Xstian 5 daysLire plus...