Le 14 mai 1999, Jean-Paul II se prosterna et embrassa le Coran. Le Coran est le « livre saint » des musulmans qui blasphème la Très Sainte Trinité et renie la divinité de Jésus-Christ. Vénérer le « livre saint » d'une fausse religion a toujours été considéré comme un acte d'apostasie — un rejet complet de la vraie religion. Cette simple action a fait de Jean-Paul II un apostat, car ceci est équivalent au fait d’adorer le sépulcre de Mahomet, acte qui selon saint Thomas rendrait apostat :
St. Thomas d'Aquin, Somme Théologique, Pt. 2, q. 12, art. 1, obj. 2: « Et si quelqu'un... adorait le sépulcre de Mahomet, il serait réputé apostat. »
Durant sa visite en Allemagne le 17 novembre 1980, Jean-Paul II avait encouragé les musulmans à « vivre et témoigner votre foi aussi dans un nouvel environnement. » [40]
En février 2000, Jean-Paul II rencontra Mohammed Sayed Tantawi, le « Grand Cheikh » islamique. Jean-Paul II avait commis un autre acte d’apostasie dans son discours aux musulmans.
Jean-Paul II, Message, au « Grand Cheikh Mohammed » ; 24 fév. 2000 : « L'islam est une religion. Le christianisme est une religion. L’islam est devenu une culture. Le Christianisme est aussi devenu une culture... Je remercie votre université, le plus grand centre de culture islamique. Je remercie ceux qui développent la culture islamique... » [41]
Jean-Paul II remercia ceux qui développent la culture islamique ! Il remercia les infidèles de développer une culture qui renie à grande échelle Jésus-Christ, la Trinité et la foi catholique, et qui maintient dans les ténèbres du Diable des centaines de millions de gens. De toutes les choses dans le monde auxquelles on peut penser, la culture islamique se classe probablement dans le top 5 des plus diaboliques.
Pape Calixte III : « Je m'engage à... exalter la vraie foi, et extirper d’Orient la secte diabolique [islam] de l’infidèle et réprouvé Mahomet. »
(Von Pastor, History of the Popes, II, 346Cit. Warren H. Carroll, A History of Christendom, Vol. 3 (The Glory of Christendom), Christendom Press, Front Royal, VA, 1993, p. 571.)
Le Moyen Âge fut une bataille constante, spirituelle et physique, entre l'Occident chrétien et les hordes islamiques. Cette déclaration de Jean-Paul II constitue un rejet de Jésus-Christ et une apostasie formelle. Aucun catholique ne pourrait faire une telle déclaration — pas même une seule fois.
Jean-Paul II a demandé à saint Jean-Baptiste de protéger l’islam !
Le 21 mars 2000, Jean-Paul II demanda à saint Jean-Baptiste de protéger l’islam (la religion des musulmans), cette religion diabolique qui renie le Christ et la Trinité !
Jean-Paul II ; 21 mars 2000 : « Que saint Jean-Baptiste protège l'islam, tout le peuple de la Jordanie... » [42]
C’est demander à saint Jean de protéger le reniement du Christ et la damnation des âmes.

Le 12 avril 2000, Jean-Paul II rencontra le roi du Maroc, un descendant du faux prophète de l’islam, Mahomet. Jean-Paul II lui avait demandé, « Vous êtes un descendant du prophète n’est-ce pas ? » [43]
L’apostasie de Jean-Paul II dans la mosquée
Le 6 mai 2001, Jean-Paul II fit culminer ses années passées dans l’apostasie avec les musulmans, en voyageant et en se rendant dans la « Grande Mosquée des Omeyyades » de Damas. Dans la mosquée, il ôta ses chaussures en guise de ‘révérence’ pour ce temple d'infidélité.



Sur la première photo, nous voyons Jean-Paul II entrer dans la « Grande Mosquée des Omeyyades » de Damas, le 6 mai 2001. Sur les autres photos, nous le voyons dans la mosquée avec l’infidèle grand mufti, le cheikh Ahmad Kaftaro. Dans la mosquée, Jean-Paul II s’était assis sur une chaire identique à celle du grand mufti. Voici la déclaration que fit Jean-Paul II aux musulmans ce jour-là :
Jean-Paul II, Discours, à la Communauté musulmane ; 6 mai 2001 : « C’est dans les mosquées ou les églises que les communautés musulmanes et chrétiennes ont façonné leur identité religieuse ... Quel sens de l’identité insuffle-t-on chez les jeunes Chrétiens et chez les jeunes Musulmans dans nos églises et nos mosquées ? Je souhaite ardemment que les responsables religieux et les professeurs de religion, musulmans et chrétiens, présentent nos deux importantes communautés religieuses comme des communautés engagées dans un dialogue respectueux, et plus jamais comme des communautés en conflit. » [44]
Il est intéressant de noter que le califat des « Omeyyades » (lignée de dirigeants musulmans), dont tire son nom cette mosquée visitée par Jean-Paul II, fut une lignée de dirigeants musulmans extrêmement engagés contre l'Espagne catholique, pendant les 770 ans de guerre entre chrétiens et musulmans qui eut lieu dans ce pays.
« Abdurrahman le dernier survivant des Omeyyades, devint le souverain de l'Espagne musulmane à l’époque où Fruela devint le souverain de l'Espagne chrétienne ; vers 759, les deux rois s’affrontèrent en Galice. » [45]
Le fait que Jean-Paul II ait fréquenté une mosquée qui tire son nom d’un groupe si représentatif de l'anti-christianisme, ne fait qu'ajouter de l'insulte à son apostasie. Le sang de tous les fidèles catholiques morts au combat contre les Omeyyades pour la survie même de l'Espagne chrétienne, crie contre lui !
Apo. 17:6 - « Et je vis cette femme enivrée du sang des saints et du sang des martyrs de Jésus. Or, je fus surpris, quand je l’eus vue, d’un grand étonnement. »
Jean-Paul II enseigne que les musulmans et les catholiques ont le même Dieu
Plus tôt dans le livre, nous avons vu l’enseignement hérétique de Vatican II, selon lequel les catholiques et les musulmans adorent ensemble le même Dieu véritable. Jean-Paul II répéta un nombre incalculable de fois cette hérésie de Vatican II.
Jean-Paul II, Encyclique, sur la question sociale ; 30 déc. 1987, n° 47 : « ... à ceux qui, comme nous, croient en Dieu juste et miséricordieux, les Musulmans... » [46]
Jean-Paul II, Homélie ; 13 oct. 1989 : « ... les fidèles de l’islam qui croient au même Dieu, bon et juste. » [47]
Jean-Paul II, Homélie ; 28 jan. 1990 : « ... nos frères musulmans... qui adorent comme nous le Dieu unique et miséricordieux. » [48]
Jean-Paul II, Audience ; 16 mai 2001 : « ... l'Église s'adresse aux croyants de l'islam, auxquels nous unit l'adoration du Dieu unique... » [49]
Jean-Paul II, Audience ; 5 mai 1999 : « Je voudrais aujourd'hui reprendre ce que je disais il y a quelques années aux jeunes musulmans, à Casablanca: “Nous croyons au même Dieu...” » [50]
Ceci est blasphème et apostasie. Les musulmans rejettent la Très Sainte Trinité. Ils n’adorent pas le seul vrai Dieu. En affirmant sans cesse que musulmans et catholiques croient au même Dieu, Jean-Paul II niait à chaque fois la Très Sainte Trinité. D’ailleurs, on est frappé par la spécificité avec laquelle Jean-Paul II (tout comme Vatican II) renie Jésus-Christ dans plusieurs de ces citations. Par exemple :
Jean-Paul II, Nouveau Catéchisme, § 841 : « ... les musulmans qui, en déclarant qu’ils gardent la foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, juge des hommes au dernier jour. » [51]
Nous trouvons ici le catéchisme de Jean-Paul II enseignant que le Dieu des musulmans (qui n’est pas Jésus-Christ) sera le juge des hommes au dernier jour. Cela signifie que Jésus-Christ ne sera pas le juge des hommes au dernier jour, mais que le dieu que les musulmans adorent le sera en revanche. C’est un reniement de la seconde venue de Jésus-Christ qui jugera les vivants et les morts.
Pape St. Damase Ier, Concile de Rome ; 382 A.D., ca. 15 : « Si quelqu'un ne dit pas qu'Il [Jésus-Christ]... viendra juger les vivants et les morts, il est hérétique. » [52]
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