
Source : Rusbrock l’admirable, Oeuvres choisies, traduit par Ernest Hello, Librairie Poussiselgue Frères, 1869, pp. XLV-XLVI.
Pendant que Rusbrock vivait encore dans le monde, il y avait une femme à Bruxelles, qui inventa et propagea une doctrine exécrable. Elle avait une immense réputation de sainteté. Jamais, disait-on, elle ne va à la sainte table, sans être escortée de deux séraphins, l’un à droite, l’autre à gauche.
Elle écrivait beaucoup sur l’esprit de liberté. Elle parlait beaucoup de cet amour que le paganisme divinisa sous le nom de Vénus, et enseigna que cette passion était séraphique en elle-même. Cette femme eut des admirateurs qui saluèrent en elle l’apôtre même de la vérité divine. Elle devint l’objet d’un culte.
Rusbrock eut pitié de tant d’erreur : il s’opposa aux dogmes infâmes. Une armée de furieux se leva contre lui. Mais il mit à nu le mensonge, et confondit la menteuse.
Beaucoup de savants passaient à côté pleins de respect, sans dénoncer l’erreur, ni même l’apercevoir. Ce fut l’ignorant Rusbrock qui fit l’œuvre. Sa promptitude à découvrir le mal, sa sagesse à le démasquer, son audace à le confondre, malgré tant d’hostilités et tant de ruses, tout indiqua chez lui le mouvement de l’Esprit-Saint.
oui ils commencent à vacciner dans les hépad c est peut etre pour rassurer les personnes saines et les enfants c est terrible que Dieu nous vienne en aide
ANNE 2 weeksLire plus...